Selon une étude française, publiée dans la revue « Alzheimer’s & Dementia », une carence en vitamine D augmenterait le risque de maladie d’Alzheimer, surtout lorsqu’elle est associée à de faibles apports de certains nutriments.
Les chercheurs ont constaté que les personnes qui avaient une carence (25 %) ou une insuffisance (60 %) en vitamine D risquaient trois fois plus que les autres de développer la maladie d’Alzheimer et deux fois plus de développer un autre type de démence par rapport aux personnes ayant un statut adéquat en vitamine D.
Les participants qui avaient les plus faibles concentrations sanguines combinées en vitamine D, en caroténoïdes et en acides gras polyinsaturés ( bonnes graisses ) avaient 4 fois plus de risque de développer une démence et la maladie d’Alzheimer par rapport aux participants qui possédaient les concentrations sanguines les plus élevées pour ces nutriments.
Le communiqué souligne que : « Le sur-risque conféré par cette déficience multiple en nutriments liposolubles apparaît bien supérieur au risque lié à la génétique »