Le principal déterminant pour la santé d'une personne ordinaire est sa force d'esprit. Non pas la génétique, ni sa condition physique ni son alimentation, mais son esprit. Ceci a été démontré maintes et maintes fois par les domaines scientifiques de psycho-neuro-immunologie, neuro-cardiologie, psycho-neuro-endocrinologie, sans oublier la recherche sur le cancer et autres troubles psychosomatiques qui ont été étudiés.
Si vous doutez que la pensée puisse affecter la santé, vous pouvez consulter les innombrables documents existants sur le sujet, ou bien jeter un oeil sur cet exemple bien réel.
La personne tenant le record de longévité était une femme française nommée Jeanne Calment qui a vécu 122 années et 164 jours.
Quel était son secret? Selon le chercheur français Jean-Marie Robine, "Elle n'a jamais fait quelque chose de spécial pour rester en bonne santé."
Jeanne Calment a fumé des cigarettes (à partir de 21 ans), a bu du vin et du Porto et a mangé des tonnes de bonbons et de chocolat par semaine jusqu'à ses 119 années.
Elle explique sa longévité par d'autres termes; le rire et la zen attitude. Elle est connue pour avoir déclaré: "Si vous ne pouvez rien y faire, c'est qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter." Ce qui pouvait bien lui arriver n'a pas dû véritablement influencer le cours de sa vie- Née dans la richesse et mariée à un homme aisé, elle a pu avoir une vie baignée dans l'aisance et le confort; en d'autres termes, une vie sans stress.
Essayons de faire la parallèle avec une personne ayant mené une vie saine, avec une alimentation équilibrée, une bonne condition physique et qui pourrait être décrite comme étant extrêmement ordonnée. Cette personne a perdu la vie des suites d'une crise cardiaque à l'âge de 61 ans. Personne ne se souvient l'avoir vue rire ou du moins sourire.
Ce genre d'exemples et d'histoires réelles sont à prendre en considération mais qu'est-ce que qu'en disent les recherches menées à propos de la force d'esprit et des principales causes de mortalité que sont les crises cardiaques et le cancer? Les études sur la pensée et les maladies cardiaques sont fort connues, nul besoin de se pencher dessus. Mais qu'en est-il du cancer?
Selon le Journal de la recherche sur le psychosomatisme, "le refoulement de la colère était la caractéristique commune à plus de 160 sujets au cancer du sein."
D'autres recherches suggèrent que "les taux les plus bas de colère étaient à noter dans de nombreux cas d'étude de cancer. Ces faibles taux de colère suggèrent un refoulement, une répression, ou un blocage de la colère ressentie et non exprimée. Il est prouvé que le refoulement du sentiment de colère pouvait être annonciateur de l'apparition du cancer et de sa progression après diagnostic."
Cette femme qui a vécu jusqu'à l'âge de 122 ans, a fumé pendant 100 ans, sans en subir aucun effet secondaire.