Afin d’inculquer aux enfants l’envie d’apprendre et de leur permettre de s’épanouir, Céline Alvarez, une jeune institutrice-chercheur, avait essayé l’application d’une pédagogie qui repose sur trois principes premiers : la motivation l’action et l’amour.
Les résultats de cette expérimentation était incroyables : Les enfants étaient capables de lire dès 3 ans et pouvaient faire des multiplications à 4 chiffres dès 4 ans ! Et tout ce savoir à été inculqué dans la joie et la bonne humeur.
Dans la classe dont elle s’occupait, l’institutrice apprenait à ses élèves à faire le ménage, à s’habiller tous seuls, à découvrir les continents du monde et à lire dans le seul but de « stimuler le potentiel de ses élèves »
Cependant, au lieu de s’enthousiasmer de ces progrès, l’Education Nationale a demandé à l’institutrice de cesser ses recherches ou de quitter l’enseignement. Céline Alvarez a donc choisi de démissionner.
Ce qui nous rappelle que le système éducatif finlandais est tout à fait opposé à cette méthode. En Finlande, les enseignants sont formés selon différentes pédagogies et sont invités à utiliser celle qui leur paraît marcher le mieux, et cela sans jamais subir la dictature de l’inspection.Cela a pour conséquence que les enfants finlandais sont les plus performants dans le monde.
En France, l’Education Nationale compte plutôt combattre l’échec scolaire en rendant la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans, au lieu de 6 à 16 ans aujourd’hui.
Peut-être vaudrait-il mieux repenser le système désuet plutôt que de forcer les enfants à y passer plus de temps.