A.. A... Atchoum ! Une vilaine grippe et c’est parti pour des éternuements à répétition mais pas seulement ! En effet, si l’on y prête attention, l’être humain n’éternue pas seulement lorsqu’il est malade. Alors pourquoi éternue-t-on et est-ce bon pour la santé ? Une récente étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie a démontré qu’en éternuant, nous ne chassons pas seulement les microparticlues pathogènes nichées au niveau du conduit nasal.
En éternuant, nous engendrons une surpression qui va des poumons au nez, ce qui provoque une expiration brutale de l’air accompagnée d’une redynamisation du système de circulation du mucus. Ainsi, les particules de poussière et autres parasites non indésirables sont chassés d’un coup. L’éternuement est donc un processus radical de purification du mucus pour une meilleure respiration. Si un premier système de purification existe, composé par les poils du nez ainsi que par les cellules qui tapissent les parois nasales, il semble que l’éternuement est le système de purification de rechange qui est déclenché lorsque le premier système ne fonctionne pas correctement.